World Vision Schweiz http://www.worldvision.ch/de/rss Engagieren Sie sich gemeinsam mit World Vision Schweiz für eine Welt, in der Kinder geschützt, umsorgt und gesund aufwachsen können. de-de Sat, 23 Sep 2023 18:55:49 +0200 Sat, 23 Sep 2023 18:55:49 +0200 article-45879 Thu, 21 Sep 2023 16:00:00 +0200 47.4026392 8.616362200000026 Studie: Sexueller Missbrauch von Kindern durch Digitalisierung verschärft https://www.worldvision.ch/de/aktuelles/newsroom/news/studie-sexueller-missbrauch-von-kindern-durch-digitalisierung-verschaerft/ Der weltweit verstärkte Einsatz von digitalen Endgeräten im Zuge der Covid-19-Pandemie hat zu einem deutlichen Anstieg von sexuellem Missbrauch im Internet geführt. Text: World Vision Deutschland 

Das geht aus einer jetzt veröffentlichten Studie des international tätigen Kinderhilfswerks World Vision hervor. World Vision Deutschland befragte für die Studie Expertinnen, Experten und Betroffene aus vier Ländern.

Studie “Sexualisierte Gewalt gegen Kinder im digitalen Raum”

Hier können Sie die komplette Studie als PDF herunterladen.

Mehr virtueller Unterricht, mehr Online-Missbrauch

Als Teil der Covid-Massnahmen wurden weltweit Schulen vorübergehend geschlossen. Um den Unterrichtsausfall zu kompensieren, hatten Regierungen in vielen Ländern digitale Endgeräte eingesetzt, um über virtuelle Lernplattformen Unterrichtsinhalte zu vermitteln. Dies hatte aber ungewollt zur Folge, dass sich damit auch die Möglichkeiten von sexuellem Missbrauch über das Internet deutlich erhöhten.

Formen sexueller Gewalt im Internet

Ekkardt Sonntag, Leiter des World Vision Instituts für Forschung und Entwicklung in Deutschland: „Sexualisierte Online-Gewalt kann jedes Kind überall auf der Welt betreffen und verschiedenste Formen annehmen. Von sogenanntem Cyberbullying unter Gleichaltrigen über gefilmte und online veröffentliche analoge Gewalthandlungen bis hin zu armutsbedingtem Livestreaming ist im Netz alles möglich. Es ist ein komplexes Phänomen, welches oft Ländergrenzen überschreitet.“

In ärmeren Kontexten, auch in Ländern des globalen Südens, werden Kinder von Mittelspersonen, teils der eigenen Familie, vor die Livestreaming-Kamera gestellt, um gegen Bezahlung nackt zu posieren oder sogar von Dritten vergewaltigt zu werden. Die zahlenden Konsumenten und Konsumentinnen solchen Materials sitzen oft in den reicheren Ländern des globalen Nordens.

Kinderrechte im digitalen Raum?

Die Studie zeigt deutliche Lücken im digitalen Kinderschutz bei Politik, Strafverfolgung und Unternehmensverantwortung der Tech-Companies auf. Aber auch mögliche Lösungsansätze werden genannt. Dazu gehört die Priorisierung von Kinderschutz im digitalen Raum, v.a. durch gesellschaftliche Aufklärung und altersgerechte Kinderrechte-Bildung sowie Medienkompetenz ab der ersten Schulklasse.

World Vision-Kinderrechtereferentin und Studien-Mitautorin Kristina Kreuzer: “Das Recht auf Schutz für Kinder muss auch im digitalen Raum gelten – dennoch gibt es angesichts des rasanten technischen Fortschritts viele Lücken und grosse Unwissenheit in Gesellschaft, Politik und bei Fachkräften der sozialen Arbeit.“

Ein weltweites Problem

Ein weiteres Ergebnis der Studie: Die Corona-Pandemie hat die Lage bleibend verschärft. Täterinnen und Täter unterliegen durch die Homeoffice-Regelungen weniger sozialer Kontrolle als zuvor und können wesentlich mehr Zeit im Internet verbringen. Ebenso haben spätestens mit dem pandemiebedingten Homeschooling Kinder aller Bevölkerungsschichten einen Zugang zum Internet erlangt, ohne auf die Risiken digitalisierter Kriminalität vorbereitet worden zu sein.

„Kriminelle können Kinder zum Beispiel per ‚Copy-and-Paste‘ zu tausenden auf Spieleplattformen mit derselben Nachricht ansprechen, durch Übersetzungssoftware auch in Sprachen, die sie nicht beherrschen. Außerdem macht das Internet das Trauma für Kinder und Jugendliche permanent, denn Missbrauchsmaterial kann nie endgültig gelöscht werden. Es gibt erschreckend viele Missbrauchsmöglichkeiten“, erklärt Co-Autorin Caterina Rohde-Abuba.

 

Möchten Sie uns dabei unterstützen, Kinder weltweit zu ihren Rechten zu verhelfen? Übernehmen Sie eine Patenschaft.

 

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article-45860 Fri, 15 Sep 2023 10:00:00 +0200 47.4026392 8.616362200000026 Que se passe-t-il si... on parle de planification familiale ? https://www.worldvision.ch/de/aktuelles/newsroom/news/que-se-passe-t-il-si-on-parle-de-planification-familiale/ Est-ce que nous voulons avoir des enfants ? Si oui, combien ? Quel est le moment approprié ? Ces questions peuvent être délicates pour certains, mais pour d'autres, elles sont décisives pour la vie. Pourquoi en est-il ainsi ? Texte : World Vision International

Quand devons-nous avoir des enfants, en voulons-nous vraiment et combien ? 

A un moment ou à un autre de leur relation, la plupart des couples se voient confrontés à la question s’ils veulent avoir des enfants, oui ou non. Un sujet délicat qui peut mener à la fin du couple en cas d'idées inconciliables. Dans d'autres pays, où les mères et les bébés n'ont pas accès aux soins de santé de base, ce sujet de discussion est même une question de survie. Car parler de planning familial, c'est sauver des vies - et améliorer les conditions de vie de communautés entières. 

Chaque jour, 15 000 enfants meurent avant leur cinquième anniversaire. La cause de décès la plus fréquente chez les filles âgées de 15 à 19 ans sont les complications pendant la grossesse et l'accouchement. 

Un écart de 3 ans entre les grossesses entraîne des conséquences énormes :

1 décès d'enfant sur 4 peut être évité.
1 décès maternel sur 3 peut être évité.
Le sous-développement des enfants en bas âge peut être réduit de 50 %.

Dans le cadre de nos projets de développement financés par des parrainages, World Vision aide les femmes à planifier leurs grossesses afin qu'elles puissent prendre en main leur santé et leur bien-être. Les filles et les jeunes femmes apprennent lors de formations comment fonctionne le corps féminin et comment elles peuvent utiliser ces connaissances pour éviter les grossesses précoces. 

Les enfants sont une bénédiction, mais dans les familles à faible revenu, ils sont aussi une source d'inquiétude, car il y a plus de bouches affamées à nourrir. Souvent, un grand nombre d'enfants est aussi considéré comme un signe de prospérité ou comme une force de travail supplémentaire pouvant contribuer au revenu familial. C'est précisément dans ce cas qu'un plus grand écart temporel entre les frères et sœurs permet à la mère d'aller travailler entre les naissances et d'offrir ainsi une plus grande sécurité économique à ses enfants. 


Des chiffres effrayants et une expérience de pensée 
 


On estime que 292 000 femmes meurent chaque année dans le monde autour de la grossesse et de l'accouchement. Si toutes les femmes étaient capables d'espacer leurs naissances d'au moins deux ans, de vivre leurs grossesses pendant leurs années les plus saines (entre 20 et 35 ans) et d'éviter les grossesses non planifiées, environ 100 000 femmes pourraient être sauvées chaque année ! 
 


Parlons du .… planning familial !



Dans les projets de développement de World Vision, la collaboration avec les sages-femmes est très importante. Ce sont elles qui sont en contact direct avec les futures mamans et qui peuvent leur donner de précieux conseils sur la grossesse et l'accouchement. Les sages-femmes expliquent également aux femmes qu'un intervalle suffisant entre les grossesses a de grandes conséquences sur leur propre santé et celle du bébé. 

Dans de nombreux pays, World Vision éduque des auxiliaires de santé bénévoles qui effectuent des visites à domicile et conseillent les femmes enceintes et les mères de petits enfants. Au sein de groupes d'entraide, les femmes s'encouragent mutuellement à parler en toute confiance à leur mari de la planification des grossesses. On estime que 77% des couples de la zone du projet en Inde utilisent des moyens de contraception, contre 21% dans les autres districts. 

 

(Indonésie : Une femme souriante tient son bébé dans les bras.Décider du nombre d'enfants en toute confiance. La connaissance du planning familial est essentielle pour les femmes. 


Que disent les responsables religieux sur ce sujet ?


Dans de nombreux endroits, les responsables religieux exercent une grande influence sur les comportements sexuels autorisés ou tabous dans une communauté. Nous travaillons avec les responsables religieux de toutes les confessions et les invitons à promouvoir dans leur communauté des valeurs telles que le bien-être des enfants, la santé et l'attention mutuelle. Le thème du planning familial fait également partie de ces valeurs. World Vision fournit des informations scientifiques et factuelles sur la contraception et invite les responsables religieux à poser des questions afin de pouvoir mener des discussions dans un cadre sûr et bienveillant.

 
L'objectif est de dissiper les mythes autour de la procréation et d'éduquer les familles afin qu'elles puissent prendre leurs propres décisions, étant bien informées. 


Au Sénégal, cette approche a été adoptée tant avec des religieux musulmans qu'avec des catholiques. Plusieurs imams locaux sont désormais de fervents défenseurs des grossesses planifiées. Les membres du clergé catholiques qui gèrent le système de santé local, informent désormais les femmes sur leur cycle menstruel afin qu'elles puissent mieux planifier leurs grossesses. 


Parler d'avoir des enfants peut être un sujet difficile. En parler peut toutefois sauver des vies. Grâce au soutien des parrains et marraines d'enfants, ces discussions ont désormais lieu partout dans le monde.

Vous souhaitez offrir un bel avenir aux enfants et à leurs familles ? Devenez marraine ou parrain !
 

Sources:

Quellen:

https://worldvisionadvocacy.org/2020/10/06/world-vision-healthy-timing-and-spacing-ofpregnancies/

https://www.wvi.org/maternal-newborn-and-child-health/healthy-timing-and-spacingpregnancies

https://www.worldvisionphilanthropy.org/news/the-joy-in-child-spacing

https://www.wvi.org/faith-and-development/channels-hope

https://www.worldvision.org/wp-content/uploads/2018/10/FP-Capacity-Statement.pdf

https://sdgs.un.org/goals/goal5 

https://www.ghspjournal.org/content/8/1/114#:~:text=Die%20Standard%20Tage%20Methode%20(SDM)%20ist%20ein%20Bewusstsein%20für%20Fruchtbarkeit%2D,Barrieremethode%20zur%20Vermeidung%20einerSchwangerschaft.

https://jliflc.com/wp-content/uploads/2016/12/World-Vision-Channels-of-Hope-Evidence-Brief_December-2016.pdf

Trends in maternal mortality 2000 to 2020: estimates by WHO, UNICEF, UNFPA, World Bank Group and UNDESA/Population Division 

Sexuelle und reproduktive Gesundheit, Mutter-Kind-Gesundheit (admin.ch)

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article-45859 Thu, 14 Sep 2023 10:00:00 +0200 47.4026392 8.616362200000026 Was passiert, wenn... wir über Familienplanung sprechen? https://www.worldvision.ch/de/aktuelles/newsroom/news/was-passiert-wenn-wir-ueber-familienplanung-sprechen/ Wollen wir Kinder haben? Wenn ja, wie viele? Wann ist der geeignete Zeitpunkt dafür? Diese Fragen können für manche heikel sein, für andere sind sie lebensentscheidend. Warum ist das so? Text: World Vision International

Wann sollen wir Kinder bekommen, wollen wir überhaupt Kinder und wie viele? 

Die meisten Paare sehen sich irgendwann in ihrer Beziehung mit dem Thema Kinderkriegen Ja oder Nein konfrontiert. Ein heikles Thema - kann es doch bei unvereinbaren Vorstellungen zum Ende der Partnerschaft führen. In anderen Ländern, wo Mütter und Babys keinen Zugang zu grundlegender Gesundheitsversorgung haben, ist dieses Gesprächsthema sogar überlebenswichtig. Denn wenn man über Familienplanung spricht, rettet man Leben – und verbessert die Lebensbedingungen ganzer Gemeinschaften. 

Jeden Tag sterben 15’000 Kleinkinder vor ihrem 5. Geburtstag. Die häufigste Todesursache bei Mädchen zwischen 15 und 19 Jahren sind Komplikationen während Schwangerschaft und Geburt. 

Ein Abstand von 3 Jahren zwischen den Schwangerschaften hat enorme Auswirkungen:

  • 1 von 4 Todesfällen bei Kindern kann vermieden werden
  • 1 von 3 Todesfällen bei Müttern kann verhindert werden
  • Unterentwicklung von Kleinkindern kann um 50 % reduziert werden

In unseren durch Patenschaften finanzierten Entwicklungsprojekten hilft World Vision den Frauen, ihre Schwangerschaften zu planen, um so ihre Gesundheit und ihr Wohlbefinden selbst in die Hand zu nehmen. Mädchen und junge Frauen erfahren in Schulungen, wie der weibliche Körper funktioniert und wie sie dieses Wissen zur Vermeidung von frühen Schwangerschaften nutzen können. 

Kinder sind ein Segen, aber in einkommensschwachen Familien auch Grund zur Sorge, da mehr hungrige Mäuler gestopft werden wollen. Oftmals wird eine grosse Kinderschar auch als Zeichen von Wohlstand angesehen, oder aber als weitere Arbeitskraft, die zum Familieneinkommen beitragen kann. Gerade dann führt ein grösserer zeitlicher Abstand zwischen Geschwistern dazu, dass die Mutter zwischen den Geburten arbeiten gehen kann und so ihren Kindern mehr wirtschaftliche Sicherheit bieten kann. 

Erschreckende Zahlen und ein Gedankenexperiment 

Weltweit sterben jährlich geschätzt 292’000 Frauen rund um Schwangerschaft und Geburt. Wären alle Frauen in der Lage, mindestens 2 Jahre Abstand zwischen ihren Geburten zu halten und die Schwangerschaften während ihren gesündesten Jahren (im Alter von 20-35 Jahren) zu erleben sowie ungeplante Schwangerschaften zu vermeiden, könnten etwa 100’000 Frauen pro Jahr gerettet werden! 

Let’s talk about …. Familienplanung!

In World Vision-Entwicklungsprojekten ist die Zusammenarbeit mit Hebammen sehr wichtig. Sie sind es, die in direktem Kontakt mit werdenden Müttern stehen und ihnen wertvolle Tipps zu Schwangerschaft und Geburt geben können. Hebammen klären die Frauen auch darüber auf, dass ein ausreichender Abstand zwischen den Schwangerschaften grosse Auswirkungen auf ihre eigene Gesundheit und die des Babys hat. 

In vielen Ländern bildet World Vision ehrenamtliche Gesundheitshelferinnen aus, die Hausbesuche machen und Schwangere sowie Mütter mit Kleinkindern beraten. In Selbsthilfegruppen ermutigen sich die Frauen gegenseitig, selbstbewusst mit ihren Ehemännern über die Planung von Schwangerschaften zu sprechen. Schätzungsweise 77% der Paare im Projektgebiet in Indien nutzen Verhütungsmittel, verglichen mit 21% in anderen Bezirken. 

 

Indonesien: Junge Frau hält ihr Baby im Arm und lächelt.

Selbstbewusst über die Anzahl der Kinder entscheiden. Das Wissen über Familienplanung ist für Frauen essenziell.

 

Was sagen religiöse Verantwortungsträger dazu?

Vielerorts haben religiöse Verantwortliche grossen Einfluss darauf, welche sexuellen Verhaltensweisen in einer Gemeinschaft erlaubt oder tabu sind. Wir arbeiten mit religiösen Führern aller Glaubensrichtungen zusammen und laden sie ein, in ihrer Gemeinde Werte wie das Wohlergehen von Kindern, Gesundheit und Fürsorge füreinander zu fördern. Dazu gehört auch das Thema Familienplanung. World Vision vermittelt wissenschaftliche, faktenbasierte Informationen über Empfängnisverhütung und lädt religiöse Führer ein, Fragen zu stellen, um Gespräche in einem sicheren und wohlwollenden Rahmen führen zu können. 

Das Ziel ist, Mythen rund um das Thema Kinderkriegen zu zerstreuen und Familien aufzuklären, damit sie ihre eigenen, gut fundierten Entscheidungen treffen können. 

Im Senegal wurde dieser Ansatz sowohl mit muslimischen als auch mit katholischen Geistlichen verfolgt. Mehrere örtliche Imame sind nun starke Befürworter von geplanten Schwangerschaften. Katholische Nonnen, die das örtliche Gesundheitswesen führen, informieren nun Frauen über ihren Zyklus, damit sie ihre Schwangerschaften besser planen können. 

Übers Kinderkriegen zu sprechen mag ein schwieriges Thema sein. Darüber reden kann jedoch Leben retten. Dank der Unterstützung durch Kinderpaten finden diese Gespräche nun überall auf der Welt statt.

 

Möchten Sie Kindern und ihren Familien eine gute Zukunft bieten? Eine Kinderpatenschaft hat grosse Wirkung!

 

 

Quellen:

https://worldvisionadvocacy.org/2020/10/06/world-vision-healthy-timing-and-spacing-ofpregnancies/

https://www.wvi.org/maternal-newborn-and-child-health/healthy-timing-and-spacingpregnancies

https://www.worldvisionphilanthropy.org/news/the-joy-in-child-spacing

https://www.wvi.org/faith-and-development/channels-hope

https://www.worldvision.org/wp-content/uploads/2018/10/FP-Capacity-Statement.pdf

https://sdgs.un.org/goals/goal5 

https://www.ghspjournal.org/content/8/1/114#:~:text=Die%20Standard%20Tage%20Methode%20(SDM)%20ist%20ein%20Bewusstsein%20für%20Fruchtbarkeit%2D,Barrieremethode%20zur%20Vermeidung%20einerSchwangerschaft.

https://jliflc.com/wp-content/uploads/2016/12/World-Vision-Channels-of-Hope-Evidence-Brief_December-2016.pdf

https://www.who.int/publications/i/item/9789240068759 

https://www.eda.admin.ch/deza/de/home/themen/gesundheit/reproduktive-gesundheit.html 

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article-45857 Mon, 21 Aug 2023 13:43:00 +0200 47.4026392 8.616362200000026 L'horrible vérité derrière les produits de beauté https://www.worldvision.ch/de/aktuelles/newsroom/news/lhorrible-verite-derriere-les-produits-de-beaute/ Les produits cosmétiques vous font peut-être rayonner et briller, mais derrière les paillettes des produits de beauté et cosmétiques se cache un vilain secret : le travail des enfants.  

Texte : World Vision

 

Les enfants qui travaillent dans l'industrie de la beauté paient le prix le plus élevé pour notre beauté : ils prennent du retard à l'école ou l'abandonnent complètement et perdent leurs perspectives d'avenir ... coupures, contusions, égratignures, autres blessures et maladies ... de longues heures de travail dans la chaleur, sous la pluie, sous terre, dans l'obscurité ... pour un salaire de misère ... parfois au prix de leur vie.

Six ingrédients présentent un risque élevé de travail des enfants :

1. huile de palme 
2. cacao 
3. vanille 
4. karité 
5. mica 
6. cuivre 
Pour le secteur des cosmétiques, on estime que la croissance passera de 532 milliards de dollars en 2018 à 716 milliards de dollars en 2025. Cette croissance ne devrait pas se faire au détriment de l'éducation, de la santé ou de la vie d'un enfant.

 

Huile de palme

Des enfants âgés d'à peine cinq ans travaillent comme ramasseurs et porteurs de fruits de palmier - un travail difficile, même pour les adultes. L'huile de palme est l'huile végétale la plus utilisée au monde. Elle est utilisée non seulement dans l'alimentation, mais aussi dans les cosmétiques. La demande mondiale a augmenté énormément, donc on cherche un grand nombre de main-d'œuvre, y compris des enfants. D'ailleurs, sur les listes d'ingrédients des produits cosmétiques, on trouve 200 dénominations différentes pour l'huile de palme, par exemple Palmitate, Sodium Laureth, ou Stearic Acid.

 

Cacao

Derrière le goût sucré du cacao se cache une histoire amère : le travail des enfants. Le cacao est généralement cultivé par de petits agriculteurs et présente un risque élevé de travail des enfants. Certains d'entre eux sont sortis de l'école pendant la saison de récolte qui a lieu deux fois par an. Ils aident également à pulvériser lespesticides, en prenant un risque élevé d'inhaler des produits chimiques toxiques. Ils utilisent des machettes tranchantes pour défricher la terre et travaillent pendant de longues heures à des températures autour de 35 °C. 

 

Vanille

Le vol est un problème majeur pour les cultivateurs de vanille. Les agriculteurs sont obligés de surveiller leurs plants de vanille 24 heures sur 24, souvent avec l'aide de leurs enfants. Dans des pays comme Madagascar, les enfants âgés de 12 à 17 ans représentent près d'un tiers de l'ensemble des producteurs de vanille. En plus de surveiller le jardin de vanille, ils doivent porter de lourdes charges et sont exposés aux engrais et autres produits chimiques toxiques.

 

Karité

Les femmes et les jeunes filles travaillent extrêmement longtemps, portent de lourdes charges et souffrent souvent de douleurs dorsales et cervicales causées par le travail physique intensif de transformation des amandes de karité en beurre. Les cueilleuses de karité affirment que les serpents, les scorpions et les abeilles constituent un sérieux problème, car elles n'ont pas de gants ou de bottes et cherchent les amandes de karité dans les buissons à mains nues et à pieds nus. 

 

Mica

Le scintillement, l'éclat et la brillance sur votre maquillage proviennent du mica, un ingrédient à haut risque pour le travail des enfants. Un rapport a révélé que le mica était présent dans 100 % des fards à joues et des bronzeurs analysés, 60 % des fonds de teint et des rouges à lèvres et 40 % des mascaras. Deux régions de l'Inde, le Jharkhand et le Bihar, extraient 25 % de la production mondiale de mica. L'extraction de cette poudre de beauté est très dangereuse : les enfants risquent des blessures graves, des maladies pulmonaires dues à l'inhalation de poussière de quartz ou de silice et des coups de chaleur, pour ne citer que quelques exemples.

 

Cuivre

Les dérivés du cuivre sont présents dans les sérums high-tech et les produits de soin de la peau. Mais saviez-vous que le cuivre présente un risque élevé de travail des enfants ? On estime que 4 mineurs de cuivre sur 10 en République démocratique du Congo sont des enfants. Ils doivent travailler jusqu'à 12 heures et ne gagnent que 2 dollars par jour en tant que blanchisseurs ou trieurs. 

 

Rapport sur le travail des enfants dans les cosmétiques

Ici, vous pouvez télécharger le rapport complet en anglais 

 

Notre lutte contre le travail des enfants

Notre dernier rapport met en lumière l'utilisation du travail des enfants dans l'extraction et la culture d'ingrédients pour les produits cosmétiques. Le travail des enfants dans les cosmétiques est un problème complexe.


Mais chez World Vision, nous travaillons à éclairer les interdépendances compliquées et finalement attaquer le problème global. Nous adoptons une approche systémique. Cela implique de s'attaquer aux causes du travail des enfants, comme la pauvreté. 


Nous travaillons avec des partenaires et des communautés pour que les parents puissent augmenter leurs revenus et ainsi renvoyer leurs enfants à l'école. Nous nous engageons en faveur de lois qui rendent les chaînes d'approvisionnement plus transparentes et protègent les enfants des dangers et de l'exploitation.


 Les enfants et les jeunes sont également des partenaires importants.
 Ils éveillent les consciences, demandent des changements sociaux et aident d'autres enfants à se libérer du travail des enfants.


 Et puis, vous êtes là aussi.
 Nous comptons sur vous d'être une consommatrice et un consommateur conscients et de sensibiliser votre entourage.

Vous avez maintenant des connaissances sur le sujet.
Faites-le savoir aux autres.

 

Vous souhaitez nous aider à protéger durablement les enfants du travail des enfants ? Prenez un parrainage.

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article-45856 Mon, 21 Aug 2023 12:48:00 +0200 47.4026392 8.616362200000026 Die hässliche Wahrheit hinter Schönheitsprodukten https://www.worldvision.ch/de/aktuelles/newsroom/news/die-haessliche-wahrheit-hinter-schoenheitsprodukten/ Kosmetikprodukte lassen Sie vielleicht strahlen und glänzen, aber hinter dem Glitzer von Schönheits- und Kosmetikprodukten verbirgt sich ein hässliches Geheimnis: Kinderarbeit  

Text: World Vision

 

Kinder, die in der Beauty-Industrie arbeiten, zahlen den höchsten Preis für unsere Schönheit: Sie fallen in der Schule zurück oder brechen sie ganz ab und verlieren ihre Zukunftsperspektiven ... Schnittwunden, Prellungen, Kratzer, andere Verletzungen und Krankheiten ... lange Arbeitszeiten in der Hitze, im Regen, unter der Erde, im Dunkeln ... für einen Hungerlohn ... manchmal bezahlen sie mit ihrem Leben.

Bei sechs Inhaltsstoffen besteht ein hohes Risiko für Kinderarbeit:

  • Palmöl
  • Kakao
  • Vanille
  • Shea
  • Mica (Glimmer)
  • Kupfer

Für den Kosmetiksektor wird ein Wachstum von 532 Milliarden Dollar im Jahr 2018 auf 716 Milliarden Dollar im Jahr 2025 angenommen. Dieses Wachstum sollte nicht auf Kosten der Bildung, der Gesundheit oder des Lebens eines Kindes gehen.

 

Palmöl

Kinder im Alter von nur 5 Jahren arbeiten als Palmfruchtsammler und -träger - ein harter Job selbst für Erwachsene. Palmöl ist das am meisten verwendete Pflanzenöl der Welt. Es wird nicht nur in Lebensmitteln, sondern auch in Kosmetika verwendet. Der plötzliche Anstieg der weltweiten Nachfrage hat dazu geführt, dass immer mehr Arbeitskräfte gebrauchtwerden, darunter auch Kinder. Übrigens, auf den Zutatenlisten der Kosmetikprodukte kommen 200 verschiedene Bezeichnungen für Palmöl vor, z.B. Palmitate, Sodium Laureth, oder Stearic Acid.

 

Kakao

Hinter dem süssen Geschmack des Kakaos verbirgt sich eine bittere Geschichte: Kinderarbeit. Kakao wird in der Regel von Kleinbauern angebaut und birgt ein hohes Risiko von Kinderarbeit. Einige werden während der zweimal jährlich stattfindenden Erntesaison aus der Schule geholt. Sie helfen auch beim Versprühen von Pestiziden, wobei sie ein hohes Risiko eingehen, giftige Chemikalien einzuatmen. Sie benutzen scharfe Macheten, um das Land zu roden, und arbeiten lange bei Temperaturen von bis zu 35 °C. 

 

Vanille

Diebstahl ist ein grosses Problem für die Vanillebauern. Die Landwirte sind gezwungen, ihre Vanillepflanzen rund um die Uhr zu bewachen, oft mit Hilfe ihrer Kinder. In Ländern wie Madagaskar machen Kinder im Alter von 12 bis 17 Jahren fast ein Drittel der gesamten Vanilleproduzenten aus. Neben der Bewachung des Vanillegartens müssen sie schwere Lasten tragen und sind Düngemitteln und anderen giftigen Chemikalien ausgesetzt.

 

Shea

Die Frauen und Mädchen arbeiten extrem lange, tragen schwere Lasten und leiden oft unter Rücken- und Nackenschmerzen, die durch die intensive körperliche Arbeit bei der Verarbeitung der Sheakerne zu Butter verursacht werden. Shea-Sammlerinnen berichten, dass Schlangen, Skorpione und Bienen ein ernstes Problem darstellen, da sie keine Handschuhe oder Stiefel haben und mit blossen Händen und Füssen im Gebüsch nach Shea-Kernen suchen. 

 

Glimmer (Mica)

Das ✨ Funkeln, Schimmern und Glänzen auf Ihrem Make-up stammt von Glimmer, einem Inhaltsstoff mit hohem Risiko für Kinderarbeit. In einem Bericht wurde Glimmer in 100 % der untersuchten Rouges und Bronzer, 60 % der Foundations und Lippenstifte und 40 % der Mascaras gefunden. In zwei Regionen Indiens, Jharkhand and Bihar, werden 25 % der globalen Glimmer-Produktion abgebaut. Die Gewinnung dieses Beauty-Staubs  ist sehr gefährlich: Kinder riskieren schwere Verletzungen, Lungenerkrankungen durch das Einatmen von Quarz- oder Siliziumdioxidstaub und Hitzeschläge, um nur einige Beispiele zu nennen.

 

Kupfer

Kupferderivate sind in Hightech-Seren und Hautpflegeprodukten enthalten. Aber wussten Sie, dass Kupfer ein hohes Risiko für Kinderarbeit birgt? Schätzungen zufolge sind 4 von 10 Kupferbergleuten in der Demokratischen Republik Kongo Kinder. Sie müssen bis zu 12 Stunden arbeiten und verdienen als Wäscher oder Sortierer nur 2 Dollar pro Tag. 

 

Report Kinderarbeit in der Kosmetik

Hier können Sie den Report in Englisch herunterladen

 

Unser Kampf gegen Kinderarbeit

Unser neuester Bericht beleuchtet den Einsatz von Kinderarbeit bei der Gewinnung und dem Anbau von Inhaltsstoffen für Kosmetika. Kinderarbeit in Kosmetika ist ein komplexes Problem.

Aber wir bei World Vision arbeiten daran, die komplizierten Hintergründe zu beleuchten, um das Problem anzugehen. 

Wir verfolgen einen systemischen Ansatz. Dazu gehört die Bekämpfung der Ursachen von Kinderarbeit, wie z. B. Armut. 

 

Wir arbeiten mit Partnern und Gemeinden zusammen, damit Eltern ihr Einkommen erhöhen können und ihre Kinder somit wieder zur Schule schicken. Wir engagieren uns für Gesetze, die Lieferketten transparenter machen und Kinder vor Gefahren und Ausbeutung schützen.

 

Kinder und junge Menschen sind ebenfalls wichtige Partner.

Sie schärfen das Bewusstsein, fordern gesellschaftliche Veränderungen und helfen anderen Kindern, sich aus der Kinderarbeit zu befreien.

 

Und dann sind da noch Sie.

Wir zählen darauf, dass Sie eine bewusste Konsumentin oder ein bewusster Konsument sind und das Bewusstsein dafür in Ihrem eigenen Umfeld verbreiten.

Sie haben jetzt Wissen zu diesem Thema.

Lassen Sie es auch andere wissen.

 

Möchten Sie uns dabei unterstützen, Kinder nachhaltig vor Kinderarbeit zu schützen? Übernehmen Sie eine Patenschaft.

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article-45854 Thu, 03 Aug 2023 00:00:00 +0200 47.4026392 8.616362200000026 Mongolei: Träumen dank Ihrer Unterstützung https://www.worldvision.ch/de/aktuelles/newsroom/news/mongolei-traeumen-dank-ihrer-unterstuetzung/ Seit ihre Mutter gestorben ist, kümmert sich der Vater um Ariunchimeg und ihren Bruder. Das Mädchen geht gerne zur Schule und träumt davon, eine berühmte Pianistin zu werden. Text: World Vision Mongolei
 

Die sechsjährige Ariunchimeg aus Bayangol, einem Distrikt in der mongolischen Hauptstadt Ulaanbaatar, ist im Februar 2022 ins Kinderpatenschaftsprogramm von World Vision aufgenommen worden. Sie erzählt: «Ich bin froh, dass ich Teil vom Patenschaftsprogramm  bin. Mitarbeitende von World Vision haben ein Foto und ein Video von mir gemacht, das mir gut gefallen hat. Ich lebe mit meinem Vater und meinem älteren Bruder zusammen. Mein Bruder ist zwölf Jahre alt und er geht in die 5. Klasse. Ich besuche die erste Primarklasse. Meine Lieblingsfächer sind mongolische Sprache, Mathematik und Malen. 

Vor einiger Zeit erschütterte ein schwerer Schicksalsschlag die Familie: «Meine Mutter ist vor vier Jahren gestorben. Seither kümmert sich mein Vater allein um uns Kinder. Er arbeitet beim mongolischen Nationalfernsehen als stellvertretender Programmdirektor. Ich versuche, meinem Vater bei der Familienarbeit wie beispielsweise beim Wäschewaschen zu helfen.»

Ein Mädchen und ein Junge sitzen an einem Tisch und spielen.

Mit ihrem älteren Bruder zusammen spielt Ariunchimeg gerne.

Das harte Leben in Bayangol

28,4% der Bevölkerung im Distrikt leben unter der Armutslinie. Es gibt nur wenige Arbeitsstellen, so dass die Familien kaum genug Geld für den Lebensunterhalt verdienen können. In nur 33% der Haushalte hat eine Person ein geregeltes Einkommen. Alkoholsucht, häusliche Gewalt, Arbeitslosigkeit und Kinderschutz sind die grössten Probleme in Bayangol. Dazu kommt, dass die Infrastruktur nur ungenügend ausgebaut ist: Steile und enge Strassen, ganze Viertel ohne öffentliche Verkehrsmittel und Taxis nur auf den Hauptstrassen erschweren das Vorwärtskommen. Der Zugang zu Schulen, Kindergärten und Familienzentren ist eingeschränkt. Nur 78 bis 80% der Kinder im Schulalter gehen in die Schule. Das ist deutlich weniger als in anderen Stadtteilen mit 97,8%.

Endlich träumen können

World Vision hat 2021 ein kleines Büro in Bayangol eröffnet. Fünf Mitarbeitende sind damit beschäftigt, das Vertrauen der Bevölkerung zu gewinnen. Assessments zeigen, wo die grössten Probleme liegen, welche Kinder dringend Hilfe brauchen und mit welchen Partnern wir zusammenarbeiten können. Die ärmsten Familien werden eingeladen, aktiv im Entwicklungsprojekt mitzumachen und ihren Kindern die Teilnahme am Patenschaftsprogramm zu ermöglichen. Kinder wie Ariunchimeg, die bereits heute von der Arbeit von World Vision profitiert und von einere Zukunft mit Perspektiven zu träumen wagt: « Mein Traum ist es, eine berühmte Pianistin zu werden. Ich bin der Schweiz dankbar, dass sie die mongolischen Kinder unterstützt.»

 

Möchten Sie Kindern eine gute Zukunft ermöglichen? Werden Sie Patin oder Pate! 

 

 

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article-45855 Thu, 03 Aug 2023 00:00:00 +0200 47.4026392 8.616362200000026 Mongolie: Rêver grâce à votre soutien https://www.worldvision.ch/de/aktuelles/newsroom/news/rever-grace-a-votre-soutien/ Depuis le décès de sa mère, son père s'occupe d'Ariunchimeg et de son frère. La fillette aime aller à l'école et rêve de devenir une pianiste célèbre. Texte : World Vision Mongolie
 

Ariunchimeg, six ans, originaire de Bayangol, un district de la capitale mongole Ulaanbaatar, a été admise dans le programme de parrainage d'enfants de World Vision en février 2022. Elle raconte : « Je suis heureuse de faire partie du programme de parrainage. Les collaborateurs de World Vision ont pris une photo et une vidéo de moi qui m'ont beaucoup plu. Je vis avec mon père et mon frère aîné. Mon frère a douze ans et il est en cinquième année. Moi, je suis en première année primaire. Mes matières préférées sont la langue mongole, les mathématiques et la peinture ».

Il y a quelque temps, un coup dur a ébranlé la famille : « Ma mère est décédée il y a quatre ans. Depuis, mon père s'occupe seul de nous, les enfants. Il travaille à la télévision nationale mongole en tant que directeur adjoint des programmes. J'essaie d'aider mon père dans les tâches familiales, comme par exemple la lessive. »

Mongolie : une fille et un garçon assis à une table et jouant.

Ariunchimeg aime jouer avec son frère aîné.

La vie difficile à Bayangol

28,4% de la population du district vit sous le seuil de pauvreté. Il n'y a que peu d'emplois, si bien que les familles peuvent à peine gagner assez d'argent pour subvenir à leurs besoins. Dans seulement 33% des foyers, une personne a un revenu régulier. L'alcoolisme, la violence domestique, le chômage et la protection des enfants sont les problèmes les plus importants à Bayangol. A cela s'ajoute le fait que l'infrastructure n'est pas suffisamment développée : des routes raides et étroites, des quartiers entiers sans transports publics et des taxis uniquement sur les routes principales rendent la progression difficile. L'accès aux écoles, aux jardins d'enfants et aux centres familiaux est limité. Seuls 78 à 80% des enfants en âge scolaire vont à l'école. C'est nettement moins que dans d'autres quartiers de la ville où ce taux atteint 97,8%.

Pouvoir enfin rêver

World Vision a ouvert un petit bureau à Bayangol en 2021. Cinq collaborateurs s'emploient à gagner la confiance de la population. Des évaluations montrent où se situent les plus gros problèmes, quels enfants ont besoin d'une aide urgente et avec quels partenaires nous pouvons collaborer. Les familles les plus pauvres sont invitées à participer activement au projet de développement et à permettre à leurs enfants de participer au programme de parrainage. Des enfants comme Ariunchimeg, qui profite déjà du travail de World Vision, ose désormais de rêver d'un avenir avec des perspectives : « Mon rêve est de devenir une pianiste célèbre. Je suis reconnaissante à la Suisse de soutenir les enfants mongols. »

 

Vous souhaitez offrir un bel avenir aux enfants ? Devenez marraine ou parrain ! 

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article-45852 Thu, 27 Jul 2023 00:00:00 +0200 47.4026392 8.616362200000026 Bangladesch: Schwierige Zeiten überwinden https://www.worldvision.ch/de/aktuelles/newsroom/news/bangladesch-schwierige-zeiten-ueberwinden/ Vor nicht allzu langer Zeit musste Bharotis Familie in Bangladesch noch Hunger leiden. Das Geld reichte nirgendwohin. Heute ist alles anders.  

Text: Thomas Kalytta, International Programmes Manager South Asia Pacific, World Vision Schweiz und Liechtenstein


Bharoti  (32) treibt ihre Kühe jeden Morgen auf die Weide und bringt sie in der Abenddämmerung wieder nach Hause. Ihr Tag ist erst zu Ende, wenn sie sicher ist, dass die Kühe in ihrem Stall sind. In vielerlei Hinsicht kümmert sie sich um diese Tiere wie um ihre Kinder. Bharoti lebt mit ihrem Mann und ihren drei Kindern in einem kleinen Dorf des Entwicklungsprojekts Muktagacha  von World Vision Bangladesch. Ihre Liebe und Fürsorge für ihr Vieh rühren von dem Hunger und der finanziellen Not her, die sie mit ihrer Familie vor nicht allzu langer Zeit ertragen musste. «Meine Kinder weinten vor Hunger, aber wir konnten uns kein Essen leisten. Meistens konnten wir nur eine Mahlzeit am Tag zu uns nehmen», erzählt Bharoti. «Es war sehr schwierig für uns, drei Mahlzeiten am Tag für die ganze Familie zu bezahlen, weil mein Mann kein festes Einkommen hatte.»
 

Schulungen bringen die Wende

Doch im Jahr 2020 bekam Bharoti die Chance, über das Muktagacha Entwicklungsprojekt, einem Programm für speziell arme Familien von World Vision Bangladesch, teilzunehmen. Bharoti lernte, wie man Gemüse anbaut und Geflügel und Vieh züchtet. Sie lernte auch, wie man Land für den Gemüseanbau vorbereitet, ein Saatbeet anlegt und effiziente Wachstumsmethoden für den Hausgarten anwendet. Ausserdem lernte sie nachhaltige Methoden für die Aufzucht von Rindern und Geflügel in einem Heimbetrieb kennen. «Seit der Schulung baue ich zuhause Gemüse an und kann meine Familie täglich mit nahrhaften Mahlzeiten versorgen.» 

Sechs Monate nach der Teilnahme am Programm stellte World Vision Bangladesch Bharoti eine Kuh als Einkommensquelle zur Verfügung. Bharoti war überglücklich, als sie die Kuh erhielt. «Ich hätte nie erwartet, so etwas von World Vision Bangladesch zu erhalten! Ich hatte gehofft, irgendwann eine zu kaufen, wenn ich genug gespart habe, aber jetzt kann ich meine Ersparnisse anderweitig investieren. Das ist ein riesiger Segen von Gott durch World Vision!» Eineinhalb Jahre später brachte die Kuh ein Kalb zur Welt. Sie versorgt Bharotis Familie nun täglich mit zwei Litern Milch. 

 

Bangladesch: Frau mit einer Kuh und einem Kalb.

Die Kuh erhielt Bharoti geschenkt. Bald gebar diese ein Kalb.
 

Stolz darauf, als Frau die Familie versorgen zu können

Die Teilnahme am Programm für arme Familien hatte einen weiteren herzerwärmenden Effekt: Bharoti ist nun stolz darauf, dass sie ihre Familie versorgen kann. Sie ist auch ein geachtetes Mitglied ihrer Gemeinde und hat Zugang zu vielen Gemeinschaftseinrichtungen, die es ihrer Meinung nach vorher für sie und ihre Familie nicht gab.

«Ich muss meinen Mann nicht um Geld für mich und meine Kinder bitten. Ich kann alle Kosten für ihre Ausbildung selbst tragen», sagt Bharoti und lächelt. Ihre Kinder gehen jetzt zur Schule und die Familie kann sich richtige Mahlzeiten leisten. Bharoti hat Vermögen im Wert von 85'000 BDT (ca. CHF 968.-) angespart und besitzt ein Bankkonto, auf das sie monatlich einen Beitrag für die Zukunft ihrer Kinder einzahlt. «Es ist wirklich ein tolles Gefühl, meine Familie glücklich zu sehen», sagt Bharoti. «Ich habe immer davon geträumt, finanziell stabil zu sein und nie Angst haben zu müssen, dass meine Kinder Hunger leiden müssen. Jetzt werden meine Träume wahr!»

 

Möchten Sie Kindern und ihren Familien eine bessere Zukunft ermöglichen? Werden Sie Patin oder Pate! 

 

 

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article-45853 Wed, 26 Jul 2023 18:00:00 +0200 47.4026392 8.616362200000026 Bangladesh: Surmonter les temps difficiles https://www.worldvision.ch/de/aktuelles/newsroom/news/bangladesh-surmonter-les-temps-difficiles/ Il n'y a pas si longtemps, la famille de Bharoti devait encore souffrir de la faim au Bangladesh. L'argent n'allait nulle part. Aujourd'hui, tout a changé.  

Texte : Thomas Kalytta, International Programmes Manager South Asia Pacific, World Vision Suisse et Liechtenstein


Bharoti (32 ans) conduit ses vaches chaque matin au pâturage et les ramène à la maison au crépuscule. Sa journée ne se termine que lorsqu'elle est sûre que les vaches sont dans leur étable. À bien des égards, elle s'occupe de ces animaux comme de ses enfants. Bharoti vit avec son mari et ses trois enfants dans un petit village du projet de développement Muktagacha de World Vision Bangladesh. L'amour et les soins qu'elle porte à son bétail viennent de la faim et des difficultés financières qu'elle a dû endurer avec sa famille il n'y a pas si longtemps. « Mes enfants pleuraient de faim, mais nous ne pouvions pas nous permettre de manger. La plupart du temps, nous ne pouvions prendre qu'un repas par jour », raconte Bharoti. « Il était très difficile pour nous de payer trois repas par jour pour toute la famille, car mon mari n'avait pas de revenu fixe. »
 

Les formations apportent un tournant

Mais en 2020, Bharoti a eu la chance de participer à un programme pour les familles spécialement pauvres a de World Vision Bangladesh via le projet de développement Muktagacha. Bharoti a appris à cultiver des légumes et à élever des volailles et du bétail. Elle a également appris à préparer la terre pour la culture des légumes, à planter un lit de semences et à utiliser des méthodes de croissance efficaces pour le jardin familial. En outre, elle a appris des méthodes durables pour l'élevage de bovins et de volailles dans une ferme à domicile. « Depuis la formation, je cultive des légumes à la maison et je peux fournir des repas nutritifs à ma famille chaque jour. »

Six mois après sa participation au programme, World Vision Bangladesh a mis à la disposition de Bharoti une vache comme source de revenus. Bharoti était aux anges lorsqu'elle a reçu la vache. « Je ne m'attendais pas à recevoir quelque chose comme ça de World Vision Bangladesh ! J'espérais en acheter une un jour, lorsque j'aurais suffisamment économisé, mais maintenant je peux investir mes économies ailleurs. C'est une énorme bénédiction de Dieu via World Vision ! » Un an et demi plus tard, la vache a donné naissance à un veau. Elle fournit désormais deux litres de lait par jour à la famille de Bharoti.

 

Bangladesh : femme avec une vache et un veau.

La vache a été offerte à Bharoti. Elle donna bientôt naissance à un veau.
 

Fierté de pouvoir subvenir aux besoins de la famille en tant que femme.

La participation au programme pour les familles pauvres a eu un autre effet réconfortant : Bharoti est désormais fière de pouvoir subvenir aux besoins de sa famille. Elle est également un membre respecté de sa communauté et a accès à de nombreuses installations communautaires qui, selon elle, n'existaient pas auparavant pour elle et sa famille.

« Je n'ai pas besoin de demander à mon mari de l'argent pour moi et mes enfants. Je peux payer moi-même tous les frais liés à leur éducation », dit Bharoti en souriant. Ses enfants vont désormais à l'école et la famille peut s'offrir de vrais repas. Bharoti a économisé des biens d'une valeur de 85'000 BDT (environ CHF 968.-) et possède un compte bancaire sur lequel elle verse chaque mois une contribution pour l'avenir de ses enfants. « C'est vraiment un sentiment extraordinaire de voir ma famille heureuse », dit Bharoti. « J'ai toujours rêvé d'être stable financièrement et de ne jamais avoir à craindre que mes enfants ne souffrent de la faim. Maintenant, mes rêves deviennent réalité ! »

 

Vous souhaitez offrir un meilleur avenir aux enfants et à leurs familles ? Devenez marraine ou parrain ! 

 

 

 

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article-45839 Wed, 19 Jul 2023 16:21:00 +0200 47.4026392 8.616362200000026 Crise soudanaise : Plus que des statistiques https://www.worldvision.ch/de/aktuelles/newsroom/news/crise-soudanaise-plus-que-des-statistiques/ World Vision apporte une aide d'urgence et s'inquiète du nombre énorme de personnes en détresse. Mais ce ne sont pas seulement les chiffres, mais aussi les destins individuels bouleversants qui émeuvent nos collaborateurs sur place.  

Texte : Ganzi Isharaza, Emergency Communications, World Vision International

 

Le 14 avril 2023 était un vendredi tout à fait normal, un jour de culte, à Khartoum, la capitale du Soudan. « C'était comme n'importe quel autre vendredi », explique Hayat Muhammed, un collaborateur de World VisionSudan. « Oui, il y avait des rumeurs de tensions, mais c'était comme ça depuis des mois. » 

Le lendemain, tout a changé. Les combats entre les forces armées soudanaises (SAF) et la milice RSF ont éclaté le 15 avril et n'ont pas cessé depuis (à quelques exceptions près comme l'Aïd, une grande fête musulmane). Et cela, malgré plusieurs tentatives de conclure un cessez-le-feu prolongé.  

 

Plus de 2,5 millions de personnes déplacées

La racine du conflit est  la proposition de transition vers un gouvernement civil. Jusqu'au30 juin, plus de 1080 civils avaient été tués, 11 714 blessés et plus de 2,5 millions de personnes, principalement des femmes et des enfants, avaient été chassées de leurs maisons et de leurs moyens de subsistance. Leur migration forcée a encore aggravé la crise humanitaire déjà sévère dans la région. Fin juin, plus d'un demi-million de personnes avaient fui vers le Sud-Soudan et d'autres pays voisins. 

Depuis près de trois mois, le conflit s'est encore aggravé et menace de faire basculer le pays dans une guerre civile à part entière. Des combats entre différents groupes de population sont signalés dans la région du Darfour.  

 

Programme d'aide d'urgence de World Vision

Les collaborateurs de World Vision s'occupent dans la région des besoins des réfugiés, des rapatriés et des communautés touchées au Tchad, en République centrafricaine, en Égypte, au Soudan du Sud et en Éthiopie. Au Soudan même, les mesures ont partiellement repris après avoir été temporairement interrompues pendant le premier mois du conflit.

 

« Nous travaillons pour les gens"

« Pour nous, collaborateurs de World Vision, il est important de nous rappeler pourquoi nous faisons notre travail, au-delà des chiffres et des statistiques », explique Jeff Wright, responsable de l'aide d'urgence au Soudan. « Notre travail vise à améliorer la vie d'enfants comme Omar, 10 ans, qui a perdu ses deux parents avant le conflit et a été séparé de son oncle lorsque les combats ont éclaté. Il a été contraint de fuir le pays avec sa grand-mère malade. Et nous travaillons pour des femmes comme Saura, qui a fui le Soudan pour le Sud-Soudan avec ses enfants après avoir vu son mari se faire tirer dessus. »  

 

Saura (à gauche) a vu son mari se faire tirer dessus. Elle-même a pu s'enfuir avec ses enfants vers le Sud-Soudan.

 

La crise soudanaise a massivement aggravé la crise alimentaire dans la région.

Aidez-nous à sauver des vies grâce à une aide rapide !

 

 

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article-45838 Wed, 19 Jul 2023 16:02:00 +0200 47.4026392 8.616362200000026 Sudan-Krise: Mehr als nur Statistiken https://www.worldvision.ch/de/aktuelles/newsroom/news/sudan-krise-mehr-als-nur-statistiken/ World Vision leistet Nothilfe und ist betroffen über die hohe Zahl notleidender Menschen. Doch es sind nicht nur die Zahlen, sondern auch die erschütternden Einzelschicksale, die unsere Mitarbeitenden vor Ort bewegen.  

Text: Ganzi Isharaza, Emergency Communications, World Vision International

 

Der 14. April 2023 war ein ganz normaler Freitag, ein Tag des Gottesdienstes, in Khartum, der Hauptstadt des Sudan. «Es war wie jeder andere Freitag», sagt Hayat Muhammed, ein Mitarbeiter von World Vision Sudan. «Ja, es gab Gerüchte über Spannungen, aber das war schon seit Monaten so.» 

Am nächsten Tag änderte sich alles. Die Kämpfe zwischen den sudanesischen Streitkräften (SAF) und der RSF-Miliz brachen am 15. April aus und haben seitdem (mit wenigen Ausnahmen wie Eid, einem muslimischen hohen Feiertag) nicht aufgehört. Und dies trotz mehrerer Versuche, einen längeren Waffenstillstand zu vereinbaren.  

 

Mehr als 2,5 Millionen Menschen vertrieben

Der Konfliktdreht sich um den vorgeschlagenen Übergang zu einer zivilen Regierung. Bis zum 30. Juni wurden über 1080 Zivilisten getötet, 11'714 verletzt und mehr als 2,5 Millionen Menschen, vor allem Frauen und Kinder, aus ihren Häusern und ihrer Lebensgrundlage vertrieben. Ihre Zwangsmigration hat die ohnehin schon schwere humanitäre Krise in der Region weiter verschärft. Bis Ende Juni sind über eine halbe Million Menschen in den Südsudan und andere Nachbarländer geflohen. 

Seit fast drei Monaten hat sich der Konflikt weiter verschärft und droht, das Land in einen ausgewachsenen Bürgerkrieg zu stürzen. Aus der Region Darfur werden Kämpfe zwischen verschiedenen Bevölkerungsgruppen gemeldet.  

 

Nothilfe-Programm von World Vision

World Vision-Mitarbeitende kümmern sich in der Region um die Bedürfnisse von Flüchtlingen, Rückkehrern und betroffenen Gemeinden im Tschad, der Zentralafrikanischen Republik, Ägypten, dem Südsudan und Äthiopien. Die Massnahmen im Sudan selbst wurden teilweise wieder aufgenommen, nachdem sie im ersten Monat des Konflikts vorübergehend unterbrochen worden waren. 

 

«Wir arbeiten für Menschen»

«Für uns Mitarbeitende von World Vision ist es wichtig, uns daran zu erinnern, warum wir unsere Arbeit tun, jenseits von Zahlen und Statistiken», sagt Jeff Wright, Leiter der Sudan-Nothilfe. «Unsere Arbeit zielt darauf ab, das Leben von Kindern wie dem 10-jährigen Omar zu verbessern, der vor dem Konflikt beide Eltern verloren hat und von seinem Onkel getrennt wurde, als die Kämpfe ausbrachen. Er war gezwungen, mit seiner kranken Grossmutter aus dem Land zu fliehen. Und wir arbeiten für Frauen wie Saura, die mit ihren Kindern aus dem Sudan in den Südsudan floh, nachdem sie mit ansehen musste, wie ihr Mann erschossen wurde.»  

 

Saura (links) musste mit ansehen, wie ihr Mann erschossen wurde. Sie selber konnte mit ihren Kindern in den Südsudan fliehen.

 

Die Sudan-Krise hat die Hungerkrise in der Region massiv verschärft. Helfen Sie uns, den Hunger zu bekämpfen! 

 

 

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article-45836 Mon, 17 Jul 2023 19:56:00 +0200 47.4026392 8.616362200000026 Philippinen: Entschlossen, die Schule abzuschliessen https://www.worldvision.ch/de/aktuelles/newsroom/news/philippinen-entschlossen-die-schule-abzuschliessen/ Was auch immer nötig ist, ihre Zukunft wird Bildung sein! Eine junge Frau in den Philippinen kämpft für ihren Schulabschluss.  

Text und Fotos: Arnann Jay Agosto, Projektkoordination, World Vision Philippinen

 

Wer macht mit?

  • 353 Mittelschüler und -schülerinnen in Cotabato City, Philippinen, die in der Schule kämpfen oder schon zurückgefallen sind 
  • 10 Schulen in 2 Regionen, die Childhood Rescue-Förderunterricht anbieten
  • 153 Lehrkräfte, die eine Schulung zur Unterstützung von Schulkindern mit Schwierigkeiten erhalten haben

 

Fragen Sie ein beliebiges Kind in einem beliebigen Childhood Rescue (Kindheitsretter)-Programm  auf der ganzen Welt: Was wird dir helfen, eine Zukunft mit Perspektive aufzubauen?

Sie werden alle antworten: BILDUNG!

Zweifellos ist dies die häufigste Antwort, die wir immer wieder hören.

Oft hungern Kinder und erledigen vor oder nach der Schule Jobs, nur um ihre Schulbildung zu finanzieren –  so wichtig ist sie für ihre Zukunft.

 

Shuhairas Geschichte

In Cotabato City, Philippinen, erklärt die 16-jährige Shuhaira kämpferisch:

«Das Leben ist schwierig für uns hier. Es gibt Tage, an denen haben wir kaum genug zu essen. Aber ich bin fest entschlossen, die Schule zu beenden, weil ich Lehrerin werden möchte. Ich möchte auch Kindern helfen, denen es ähnlich geht wie mir und die aus benachteiligten Verhältnissen kommen.»

 

Philippinen: ein Mädchen hält ihre Schuluniformbluse hoch.Eine Schuluniform ist mehr als nur eine weisse Bluse.  Die Kinder sind sehr stolz darauf, eine Schuluniform zu tragen. Sie verstehen, dass eine Schuluniform mehr als nur ein hübsches Kleid oder ein lustiges T-Shirt ist. Sie verstehen, dass eine Schuluniform die Möglichkeit bedeutet, zu lernen und Bildung die Grundlage ist, die sie brauchen, um sich eine Zukunft aufzubauen.

 

«Wir waren noch jung, als unsere Mutter uns verliess. Und mein Vater ist gestorben. Ich wohne mit meiner Schwester hier bei meiner Grossmutter. Ich helfe meiner Grossmutter im Haushalt. Ich putze, mache (von Hand) die Wäsche und den Abwasch und reinige die Böden. Manchmal verkaufen meine Schwester und ich Bananen. Wir verdienen etwa 300 Pesos, die wir für unsere täglichen Kosten für die Schule verwenden.»

 

Philippinen: Eine Grossmutter mit ihren beiden EnkelinnenShuhairas Grossmutter weiss, wie wichtig Bildung ist, und ermutigt ihre Enkeltöchter, zu lernen und sich weiterzuentwickeln. Es bekümmert sie, dass sie die beiden finanziell nicht besser unterstützen kann, aber ihre Liebe und Unterstützung hat den Schwestern offensichtlich sehr geholfen.

 

Arbeiten oder in die Schule gehen?

Für viele Kinder ist es dringender, durch Arbeit ihren Beitrag zum Familieneinkommen zu leisten, anstatt zur Schule zu gehen.  

Viele Familien treffen täglich schwierige Entscheidungen und schicken ihre Kinder zum Arbeiten. Wenn ein Kind in der Schule zu weit zurückfällt, bricht es den Unterricht oft ganz ab.

Um sicherzustellen, dass Kinder später im Leben selbstbestimmt handeln und wählen können, ist Bildung in frühen Jahren essenziell. 

 

Philippinen: Ein Mädchen sitzt in einer einfachen Hütte mit ihrem Schulbuch auf einer Bank.Sie ist fest entschlossen, ihr Studium abzuschliessen und Lehrerin zu werden. Shuhaira möchte Kinder unterstützen, die in der Schule zurückfallen, weil sie ihren Familien beim Geldverdienen helfen müssen.

 

Childhood Rescue will Kinder in der Schule sehen!

Dafür stellen wir Schulen Ressourcen für Schüler und Schülerinnen mit Schwierigkeiten zur Verfügung, bilden Lehrpersonen aus und unterstützen Familien dabei, mehr Einkommen zur Existenzsicherung zu generieren.

Kindern zu helfen, eine Zukunft mit ausreichender Bildung aufzubauen, erfordert viel Arbeit, und Sie, liebe Kindheitsretterinnen und Kindheitsretter tragen dazu bei, dass dies gelingt.

 

Marawi, Philippinen

Marawi und Cotabato City befinden sich auf der Insel Mindanao im Süden der Philippinen. Die mehrheitlich muslimische Bevölkerung lebt im Kreuzfeuer des Konflikts zwischen rivalisierenden militanten und terroristischen Gruppen.

Im Jahr 2017 begann eine Belagerung, die das Leben aller Beteiligten schlagartig veränderte.

Fünf Monate lang kämpften militante Gruppierungen gegen Regierungstruppen und zerstörten Tausende von Häusern, Unternehmen und Infrastrukturen. Bis zu 360’000 Menschen waren gezwungen, in benachbarte Regionen zu fliehen.  Jahre später können viele Familien noch immer nicht in ihre Heimat zurückkehren und leben in Siedlungen für Binnenvertriebene (engl. IDP).

Der Mangel an Sicherheit, Gesundheit, Nahrung und Bildung bedeutet, dass Kinder sehr anfällig für Rekrutierungsangebote von militanten Gruppen sind. Childhood Rescue hilft Kindern, ihre Zukunft durch Bildung, Gesundheit und Friedensförderung aufzubauen.

  • Terroristisches und militantes Verhalten untergräbt die soziale Stabilität und die Zukunft der Kinder
  • Terroristische Anschläge und Entführungen sind in der Region an der Tagesordnung
  • Naturkatastrophen verursachen erhebliche Schwierigkeiten für Familien in der Region

 

Möchten Sie Kindern in den schwierigsten Situationen helfen? Werden Sie Kindheitsretter mit einer regelmässigen Spende! Oder unterstützen Sie unsere Nothilfeprojekte mit einer einmaligen Spende.

 

 

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article-45835 Mon, 17 Jul 2023 19:33:00 +0200 47.4026392 8.616362200000026 Afghanistan : Marcher, parfois en silence ... https://www.worldvision.ch/de/aktuelles/newsroom/news/afghanistan-marcher-parfois-en-silence/ La poursuite de l'espoir en Afghanistan.  

Texte: Childhood Rescue-Team, World Vision International 

Photos: Azizullah Hayat

 

 

Sécheresse. Effondrement de l'économie. Une population affamée. Dénis des droits fondamentaux. Extrême imprévisibilité

Nous sommes en Afghanistan en 2023.

Mais ce n'est pas tout. Il y a aussi de l'espoir et des possibilités !

Malgré les difficultés extrêmes du travail en Afghanistan, nous avons continué à aider les enfants à survivre, tout en défendant leur droit à la guérison et à la construction d'un avenir.

Certains de nos programmes ‹Sauveurs d'enfance› ont dû s'arrêter en 2021. Mais vos dons se sont adaptés et ont permis de soutenir, en fait d'aider 384’046 enfants rien qu'au cours des six derniers mois.

 

Les enfants souffrant de malnutrition sévère reçoivent une alimentation thérapeutique de rattrapage. 

 

37’302 enfants bénéficiant d'une aide nutritionnelle, c'est un grand nombre!

Sans ce soutien, ces enfants risquaient la mort ou les effets très réels d'une malnutrition non traitée, qui affecte considérablement le développement physique et mental d'un enfant.

L'eau, l'assainissement et l'hygiène (WASH, Water - Sanitation - Hygiene) vont de pair avec la nutrition.

89’877 personnes ont bénéficié du programme WASH au cours des six derniers mois.

WASH, ce sont toutes les choses que beaucoup d'entre nous considèrent comme allant de soi.

Eau courante propre, savon, accès aux produits sanitaires, éducation à l'hygiène, toilettes, etc.

Au-delà de l'impact individuel, le programme WASH aide les communautés à lutter contre les maladies transmises par l'eau et offre des possibilités extraordinaires en matière d'innovation et d'ingénierie.

 

89’877 personnes ont bénéficié du programme WASH . Il s'agit d'une station d'eau fonctionnant à l'énergie solaire. Elle fournit des solutions d'eau résistantes au climat à des milliers de familles et permet aux enfants de rester en sécurité. Les enfants n'ont plus besoin de parcourir seuls des kilomètres chaque jour pour aller chercher de l'eau (sale).

 

Au cours des six derniers mois, vos dons ont permis...

247’907 familles accèdent aux services de santé

298’650 adultes ont bénéficié de programmes pour rétablir leurs  moyens de subsistance 

142’470 familles soutenues par des programmes de distribution d'aliments et de bons d'achat

 

Les dispensaires fournissent des services vitaux. Nos programmes ont dû constamment s'adapter aux exigences fixées par le gouvernement de facto, mais l'équipe a étonnamment réussi à aider 247 907 patients, dont beaucoup d'enfants et de mères. Le personnel afghan de World Vision est dévoué de la manière la plus impressionnante qui soit, travaillant dans des circonstances compliquées pour s'assurer que les enfants puissent survivre.

 

Prenons quelques instants pour dissiper toute confusion sur ce qu'est un bon d'achat.

Est-ce que nous faisons pleuvoir de l'argent en Afghanistan ? Ah, non, certainement pas.

Les bons d'achat en espèces sont un outils très efficace dans le cadre de l'aide humanitaire, en particulier dans les régions isolées.

Un bon d'achat est similaire à une carte-cadeau.

Il ...

  • est restreint
  • Ne peut être dépensé que dans les magasins agréés
  • est enregistré au nom d'une personne ou d'une famille
  • Élimine les possibilités de fraude ou de vol

Les bons d'achat sont plus qu'un moyen de prévenir la fraude, mieux encore, ils promeuvent la dignité et l'autonomie en donnant aux gens le choix.

Cela peut sembler peu, mais réfléchissons-y un instant.

Lorsque votre monde a été bouleversé et que vous dépendez d'une aide pour tout, la possibilité de vous rendre dans un magasin local et de choisir vos propres articles pour votre famille fait une grande différence émotionnelle et psychologique.

Lorsque vous voyez un bon d'achat, soyez assuré que vos dons sont utilisés de bonne manière. Et ils sont numériques et évoluent avec le temps :)

 

Distribution de nourriture et de bons d'achat. Notre personnel photographié ici est installé à un bureau d'enregistrement. C'est à ce même guichet que 142 470 familles se sont présentées pour recevoir leur aide.

 

Nous croyons au droit de chaque enfant à se construire un avenir.

Nous sommes ravis que les programmes d'éducation et de protection de l'enfance aient trouvé des moyens sûrs de redémarrer.

Le nombre d'enfants ayant bénéficié de ces programmes au cours des six derniers mois est très encourageant :)

83’664 enfants ont participé à des programmes éducatifs

11’128 enfants soutenus par des programmes de protection de l'enfance

 

Cours d'école dans des zones urbaines de la province de Herat. Les élèves prennent des notes avec zèle. Et qu'elles s'assoient par terre ? Peu importe. L'essentiel est qu'elles puissent apprendre.

 

Nous continuons à plaider en faveur de l'éducation de toutes les filles et femmes afghanes. Actuellement, les filles en âge d'aller à l'école primaire sont autorisées à suivre des cours communautaires.

 

De jeunes garçons se cachent de l'appareil photo, mais secrètement ils adorent le moment ! Chaque jour, Ils profitent du réseau d'eau alimenté par l'énergie solaire qui a été construit dans leur village. Ils ont désormais plus de temps pour ses devoirs et pour jouer, grâce à l'accès à une source d'eau propre à proximité.

 

Votre don a permis d'aider 384’046 enfants afghans au cours des six derniers mois.

 

Afghanistan

L'Afghanistan est un pays essentiellement agricole en Asie centrale, qui produit des grenades, des raisins et des melons doux qui figurent parmi les meilleurs au monde. L'Afghanistan est victime d'un conflit permanent depuis 2001. Un groupe politique radical a mené une guerre totale contre le gouvernement et a pris le contrôle de nombreuses régions du pays.

En Afghanistan, nos projets se concentrent sur des programmes de renforcement des communautés. Leur succès repose en grande partie sur la collaboration avec la communauté locale et les leaders religieux. Administré avec sensibilité et dans le respect de la culture et des croyances locales, le programme organise actuellement des séances de sensibilisation des hommes aux mariages d'enfants et aux droits des femmes. Nous organisons également des sessions pour les femmes et les filles, afin qu'elles connaissent leur valeur, se sentent en sécurité dans leur communauté et comprennent leurs droits en matière de violence à l'égard des femmes et de mariage des enfants.

  • Des centaines de milliers d'innocents ont été tués dans le conflit en cours, et des villes ont été laissées en ruines.
  • Le pays a connu une sécheresse dévastatrice en 2019 qui a détruit toutes les récoltes et 60 % du bétail dans l'ouest de l'Afghanistan. La sécheresse a poussé plus de 250 000 personnes à quitter leur foyer pour aller chercher de l'aide, mais même les camps humanitaires où elles sont arrivées sont désormais à court de nourriture. De nombreux parents envisagent de vendre leurs filles à des mariages précoces pour nourrir la famille.
  • Une fille afghane sur trois est mariée avant l'âge de 18 ans.
  • Plus de 10 % des réfugiés enregistrés dans le monde aujourd'hui sont originaires d'Afghanistan.

 

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article-45834 Mon, 17 Jul 2023 19:07:00 +0200 47.4026392 8.616362200000026 Afghanistan: Den Weg gehen – manchmal im Stillen https://www.worldvision.ch/de/aktuelles/newsroom/news/afghanistan-den-weg-gehen-manchmal-im-stillen/ Das Streben nach Hoffnung in Afghanistan.  

Text: Childhood Rescue-Team, World Vision International 

Fotos: Azizullah Hayat

 

Dürre. Wirtschaftlicher Zusammenbruch. Hungernde Bevölkerung. Verweigerung der Grundrechte. Extreme Unvorhersehbarkeit

Das ist Afghanistan im Jahr 2023.

Aber das ist nicht alles. Es gibt auch Hoffnung und Möglichkeiten!

Trotz der extremen Schwierigkeiten, die die Arbeit in Afghanistan mit sich bringt, haben wir Kindern geholfen zu überleben und uns gleichzeitig für ihr Recht eingesetzt, wieder zu Kräften zu kommen und sich eine Zukunft aufzubauen.

Einige unserer Programme mussten im Jahr 2021 eingestellt werden. Aber wir haben uns mit Ihrer Unterstützung angepasst und Wege gefunden, Kindern zu helfen, und zwar 384’046 Kindern allein in den letzten sechs Monaten.

 

Wie, das erfahren Sie, wenn Sie weiter scrollen. 

 

Afghanistan: Eine Frau hält ein Kleinkind auf dem Schoss, das eine Packung Plumpy Nut in den Händen hält, das ist eine therapeutische, angereicherte Erdnusspaste.

Stark mangelernährte Kinder erhalten therapeutische Aufbaunahrung. 

 

37 302 Kinder, die Ernährungshilfe erhalten, sind eine grosse Sache!

Ohne diese Unterstützung drohte diesen Kindern möglicherweise der Tod oder die sehr realen Auswirkungen einer unbehandelten Unterernährung, die die körperliche und geistige Entwicklung eines Kindes drastisch beeinträchtigt. 

Hand in Hand mit der Ernährung geht WASH – Wasser, Sanitärversorgung und Hygiene.

89’877 Menschen haben in den letzten sechs Monaten von WASH profitiert.

WASH ist all das, was viele von uns als selbstverständlich ansehen.

Sauberes fliessendes Wasser, Seife, Zugang zu Hygieneartikeln, Aufklärung über Hygiene, Toiletten usw.

Abgesehen von den positiven Auswirkungen auf persönlicher Ebene hilft WASH den Gemeinden bei der Bekämpfung von durch Wasser übertragenen Krankheiten und bietet erstaunliche Möglichkeiten für Innovation und Technik.

 

Afghanistan: Photovoltaik-Anlagen stehen vor einem von World Vision und Unicef gebauten Wasserturm.Dies ist eine solarbetriebene Wasserstation. Sie bietet Tausenden von Familien klimabeständige Wasserlösungen und trägt zur Sicherheit der Kinder bei. Die Kinder müssen nicht mehr jeden Tag kilometerweit alleine laufen, um (schmutziges) Wasser zu holen.

 

In den letzten sechs Monaten haben Ihre Spenden dazu beigetragen, dies zu bewirken:

247’907 Familien erhielten Zugang zu Gesundheitsdiensten

298’650 Erwachsene nahmen an Programmen zur Wiederherstellung des Lebensunterhalts teil

142’470 Familien wurden durch die Verteilung von Nahrungsmitteln und Bargeldgutscheinen unterstützt

 

Afghanistan: Eine World Vision-Mitarbeiterin kümmert sich um ein verletztes Kind im Krankenbett.Die Gesundheitsstationen leisten lebensrettende Dienste. Unsere Programme mussten ständig an die Anforderungen der De-facto-Regierung angepasst werden, aber das Team hat es auf erstaunliche Weise geschafft, 247’907 Patienten, darunter viele Kinder und Mütter, zu versorgen. Die afghanischen Mitarbeitenden von World Vision sind in beeindruckender Weise engagiert und arbeiten unter komplizierten Umständen, um das Überleben der Kinder zu sichern.

 

Nehmen wir uns einen Moment Zeit, um zu erklären, was ein Bargeldgutschein ist.

Lassen wir es in Afghanistan Geld regnen? Nein, definitiv nicht.

Bargeldgutscheine haben sich in Notsituationen als ein sehr effizientes humanitäres Hilfmittel bewährt,   insbesondere in abgelegenen Gebieten. Sie sind in der Zwischenzeit in der humanitären Hilfe zu einem Standard geworden.

Ein Bargeldgutschein ist vergleichbar mit einer Geschenkkarte.

Er ist ...

  • ... eingeschränkt.
  • ... nur in zugelassenen Geschäften einlösbar.
  • ... registriert auf eine Person oder Familie.
  • ... kaum anfällig für Betrug und Diebstahl.

Bargeldgutscheine sind mehr als nur ein Mittel zur Betrugsbekämpfung, sie fördern sogar die Würde und die Handlungsfähigkeit der Menschen, indem sie ihnen eine Wahlmöglichkeit geben.

Das mag nicht viel erscheinen, aber lassen Sie uns einen Moment darüber nachdenken:

Wenn Ihre Welt auf den Kopf gestellt wurde und Sie in allen Belangen auf Unterstützung angewiesen sind, macht es einen grossen emotionalen und psychologischen Unterschied, wenn Sie in ein örtliches Geschäft gehen können und selber die Artikel auswählen, die Sie für Ihre Familie brauchen. 

Wenn Sie einen Bargeldgutschein sehen, können Sie sicher sein, dass Ihre Spenden in mehr als einer Hinsicht helfen. Und sie sind digital und gehen mit der Zeit :)

 

Afghanistan: Zwei World Vision-Mitarbeiter stehen hinter einer Theke im Freien.Verteilung von Lebensmitteln und Bargeldgutscheinen. Unsere hier abgebildeten Mitarbeiter stehen an einem Registrierungsschalter. Dies ist derselbe Schalter, an dem 142’470 Familien standen, um dringend benötigte Hilfe zu erhalten. 

 

Wir glauben an das Recht eines jeden Kindes, sich eine Zukunft aufzubauen.

Wir sind überglücklich, dass die Bildungs- und Kinderschutzprogramme sichere Wege für einen Neubeginn gefunden haben.

Die Zahl der Kinder, die in den letzten sechs Monaten von diesen Programmen profitieren konnten, ist sehr ermutigend :)

83’664 Kinder nahmen an Bildungsprogrammen teil.

11’128 Kinder haben wir in Kinderschutzprogrammen unterstützt.

 

Afghanistan: Mädchen sitzen mit Schulheften und World Vision-Schultaschen auf dem Boden im Klassenzimmer.Schulunterricht in städtischen Gebieten der Provinz Herat. Eifrig machen die Schülerinnen Notizen. Und dass sie auf dem Boden sitzen? Geschenkt. Hauptsache, sie dürfen lernen.

 

Wir setzen uns weiterhin dafür ein, dass alle afghanischen Mädchen und Frauen Schulbildung erhalten. Derzeit ist es Mädchen im Grundschulalter erlaubt, an gemeindebasiertem Klassenunterricht teilzunehmen.

 

Afghanistan: zwei herzlich lachende Buben mit Schafen, der eine hält sich die Hand vor die Augen.Die Buben verstecken sich vor der Kamera, aber insgeheim geniessen sie den Moment. Sie profitieren täglich von dem solarbetriebenen Wassernetz, das in ihrem Dorf gebaut wurde. Mit dem Zugang zu einer sauberen Wasserquelle in der Nähe haben sie nun mehr Zeit für Bildung und Spiel.

 

Ihre Spenden haben in den letzten sechs Monaten 384'046 afghanischen Kindern geholfen.

 

Afghanistan

Afghanistan ist ein vorwiegend landwirtschaftlich geprägtes Land in Zentralasien, das einige der besten Granatäpfel, Trauben und Süssmelonen der Welt produziert. Afghanistan befindet sich seit 2001 in einem anhaltenden Konflikt. 2021 hat eine radikale politische Gruppe die Kontrolle über viele Teile des Landes übernommen.

Unsere Arbeit konzentriert sich auf Programme zur Stärkung von Communities. Ihr Erfolg hängt in hohem Masse von der Zusammenarbeit mit lokalen Gemeinde- und Glaubensführern ab. Das Programm wird sensibel und mit Respekt für die lokale Kultur und den Glauben durchgeführt und bietet derzeit Aufklärungsveranstaltungen für Männer über Kinderheirat und die Rechte der Frauen an. Wir organisieren auch Veranstaltungen für Frauen und Mädchen, um sicherzustellen, dass sie ihren Wert kennen, sich in ihrem Umfeld sicher fühlen und ihre Rechte in Bezug auf Gewalt gegen Frauen und Kinderheirat verstehen.

  • Hunderttausende von Unschuldigen wurden in dem andauernden Konflikt getötet, und die Städte wurden in Trümmer gelegt.
  • Das Land wurde 2019 von einer verheerenden Dürre heimgesucht, die sämtliche Ernten und 60 % des Viehbestands in Westafghanistan vernichtete. Die Dürre trieb mehr als 250 000 Menschen aus ihren Häusern, um Hilfe zu suchen, aber selbst in den humanitären Lagern, in die sie kamen, sind inzwischen die Lebensmittel ausgegangen. Viele Eltern erwägen, ihre Töchter zu verkaufen und früh zu verheiraten, um die Familie zu ernähren
  • Eines von drei afghanischen Mädchen wird verheiratet, bevor es18 Jahre alt ist.
  • Mehr als 10 % der registrierten Flüchtlinge auf der ganzen Welt stammen aus Afghanistan

 

Möchten Sie Kindern in den schwierigsten Situationen helfen? Werden Sie Kindheitsretter mit einer regelmässigen Spende! Oder unterstützen Sie unsere Nothilfeprojekte mit einer einmaligen Spende.

 

 

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article-45831 Mon, 17 Jul 2023 17:52:00 +0200 47.4026392 8.616362200000026 Congo RDC : Juste à temps :) https://www.worldvision.ch/de/aktuelles/newsroom/news/juste-a-temps/ République démocratique du Congo: Les cliniques mobiles sauvent la vie des enfants ! Et l'agriculture les maintient en bonne santé.  

Texte et photos : Rodrigue Harakandi, Food Assistance Information & Reporting Assistant, World Vision RDC

 

Depuis 2020, vos dons au Congo RDC ont aidé à ...

  • livrer plus de 40 tonnes d'aliments thérapeutiques  pour aider à sauver les vies d'enfants.
  • traiter les six aspects de santé les plus fréquents chez 4 000 enfants à Binza 
  • mettre en place 185 groupes de soins, y compris le soutien et le ressourcement de 2 231 femmes

 

Un example ...

Zaninka, la mère de Jusline, a tout essayé, mais rien n'y fait.

Son enfant, extrêmement mal nourri, dépérissait rapidement.

Puis, elle a entendu parler de certaines personnes ...

Il s'agit d'une équipe d'experts en santé et nutrition de Childhood Rescue (Sauveur d’enfance).

Benedicte, nutritionniste, était à Binza pour suivre les enfants dans nos cliniques mobiles.

C'est là qu'elle rencontre Jusline, heureusement juste à temps.

 

Bénédicte tient Jusline dans ses bras lors d'une de leurs premières rencontres. À peine capable de marcher, avec des pieds extrêmement enflés et des plaies douloureuses, les deux premières semaines de lait et d'aliments thérapeutiques ont vu son corps réagir et commencer à guérir avec des résultats encourageants.

 

Jusline a maintenant 7 ans. Elle souffre de malnutrition aiguë sévère depuis l'âge de 5 ans.

De nombreux enfants de la région de Binza souffrent de malnutrition à de divers degrés.

Le manque de soins de santé, d'éducation communautaire et d'aliments nutritifs se traduit par un retard de croissance chez de nombreux enfants, qui, s'il n'est pas traité, peut avoir de graves répercussions sur leur avenir, tant physique que mental.

À l'âge de 6 ans, Jusline est censée entrer à l'école.

Enthousiasmée à l'idée de rejoindre les autres "grandes" filles, sa déception a été déchirante, car ses deux années de malnutrition signifiaient qu'elle n'était pas prête pour l'école, physiquement et mentalement.

 

Jusline (à droite) est maintenant une fille parmi d'autres ... son corps guérit et se développe bien. Elle peut marcher, courir et jouer comme les autres enfants :)

 

Bénédicte se souvient de sa rencontre avec Jusline.

" Ses cheveux étaient décolorés et cassants. Les tissus de ses membres inférieurs et supérieurs étaient enflés, et Jusline présentait les pires formes de malnutrition. Ses amis semblaient tous plus grands et en meilleure santé. Ils étaient également plus alertes mentalement qu'elle, bien qu'ils aient tous le même âge.

Le premier jour où je l'ai rencontrée, je l'ai immédiatement envoyée à l'hôpital général de Nyamilima parce que les symptômes de Jusline présentaient une forme compliquée de malnutrition aiguë sévère. Elle avait besoin de lait et d'aliments thérapeutiques pour répondre à ses besoins fondamentaux et urgents, ce qui a permis de prendre en charge médicalement les autres complications. "

 

 

Des pieds en bonne santé et des jambes qui guérissent. Jusline peut maintenant jouer avec les autres enfants et se réjouit d'entrer enfin à l'école, où elle marchera comme les autres grandes filles.

 

 

République démocratique du Congo : Une collaboratrice de World Vision joue à taper dans les mains d'une petite fille

Jusline et Benedicte ont développé un lien particulier. Notre personnel travaille dans les endroits les plus dangereux et les plus complexes du monde parce qu'il croit en notre capacité collective à avoir un impact considérable sur la vie des enfants et des communautés. Pour des personnes comme Benedicte, il s'agit de bien plus qu'un simple travail.

 

Après sa guérison, Benedicte continue de se rendre au domicile de Jusline pour prendre de ses nouvelles, comme elle et l'équipe le font pour tous les enfants en voie de guérison.

Au-delà de la fourniture d'aliments thérapeutiques et de lait pour aider les enfants à survivre, les familles doivent avoir accès à une alimentation durable, fraîche et nutritive.

Pour y parvenir, Childhood Rescue organise des groupes de soins communautaires.

La création et le financement de groupes de soins locaux permettent aux mères et aux femmes d'apprendre à cultiver leur propre nourriture.

Il a connu un grand succès et constitue une initiative clé dans la stratégie globale visant à aider les enfants et les communautés de Binza à survivre et à se construire un avenir dans cette région souvent victime à la pénurie alimentaire.

 

République démocratique du Congo : Plusieurs femmes et hommes d'un groupe d'entraide fondé par World Vision travaillent dans un carré de choux.

Des membres d'un groupe de soins "agricoles" s'occupent de leurs cultures de choux. L'agriculture en groupe augmente la productivité et favorise la cohésion sociale entre les communautés.

 

 

" J'ai rejoint le groupe de soins pour apprendre à préparer des repas équilibrés et à cultiver notre propre potager. Cela nous permet de veiller à ce que l'alimentation de ma famille soit équilibrée et réponde aux besoins de mes enfants ", explique Zaninka, mère de Jusline.

Quant à Jusline, elle a retrouvé son sourire contagieux.

Elle est ravie de pouvoir enfin mettre son uniforme scolaire et de marcher avec ses amis chaque matin pour se rendre à l'école.

Vos dons ont véritablement aidé Jusline à survivre, à se rétablir et, aujourd'hui, à se construire un avenir.

 

 

République démocratique du Congo

La République démocratique du Congo (RDC) est un pays aux vastes richesses naturelles. Ses ressources naturelles comprennent les diamants, l'or, le cobalt et le pétrole. Pourtant, ces richesses ont apporté des souffrances à son peuple. La violence armée qui dure depuis des décennies entre le gouvernement et les diverses forces rebelles, surnommée "la guerre mondiale de l'Afrique", a paralysé le pays.

  • Les groupes rebelles se sont emparés de vastes étendues de terres, affamant les civils et paralysant l'économie du pays
  • La violence sexuelle est très répandue
  • Les épidémies de rougeole et d'Ebola ont frappé les communautés congolaises les plus démunies.

Plus de 6 millions de personnes sont mortes à cause des vagues de guerres et de famines au cours des vingt dernières années.

 

 

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